C'est cette fois-ci c'est la CGT qui s'insurge et interroge " qui a donné l'ordre de traiter des salariés de la sorte ? Pourquoi le Conseil Général qui à priori ne peut plus financer certaines dépenses d'action sociale, se paie-t-il les services de vigiles ? ".
Autre réaction: « Au lieu de la concertation avec les salariés et les familles, le conseil général a choisi d’utiliser la provocation en refusant tout dialogue et en utilisant des agents de sécurité pour réprimer violemment les salariés » renchérit le syndicat Sud.
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