Le nouveau Doblo a bien sûr conservé sa silhouette massive de 'ludospace� qu'il tient de son pendant strictement utilitaire Doblo Cargo. Mais sous des volumes au style indéniablement plus avenant. Passages d'aile marqués, flancs très sculptés et vaste surface vitrée évitent en effet des contours trop cubiques.
Une ambiance de bord bien travaillée
Très haut et allongé de 14 cm sur son prédécesseur, le nouveau Doblo affiche aussi le meilleur empattement de sa catégorie. L'habitabilité s'y avère donc exceptionnelle pour les cinq places, y compris en largeur aux coudes. Et dans l'énorme coffre peuvent encore s'ajouter deux places supplémentaires, en option (800 €). Evidemment, les sièges de la seconde rangée, fractionnables 60/40, ont toute la modularité voulue pour se replier totalement et offrir, au final, un cubage de fourgonnette.
Le Doblo est muni de deux pratiques portes latérales arrière coulissantes qui facilitent l'accès à bord. L'exécution véhicule particulier se démarque de l'utilitaire par la présence, à l'arrière, d'un grand hayon, en lieu et place de deux portes battantes asymétriques.
Comparativement au Doblo premier du nom, sa relève se signale par une présentation intérieure nettement plus valorisante. Outre une qualité de réalisation convaincante, l'ambiance de bord est plus raffinée dès la finition intermédiaire Dynamic, avec air conditionné manuel, autoradio CD, ou bien pare-chocs et coques de rétros extérieurs peints ton caisse. Et le haut de gamme Emotion ajoute une planche de bord bi-ton (rouge ou grise), avec sièges assortis. Néanmoins, la version de base Team ne mégote pas trop non plus dans sa dotation de série en intégrant déjà 4 airbags, un régulateur de trajectoire ESP, des vitres avant électriques, un verrouillage centralisé des ouvrants, etc.
Au chapitre technique, le nouveau Doblo, toujours fabriqué en Turquie, s'appuie sur les moteurs de la Punto Evo. Au volant, si le 1.3 Multijet a de l'intérêt, notamment pour sa sobriété champion (6,8 l./100 durant notre essai), on gagne un vrai agrément de conduite en optant pour le 1.6 Mtj lorsqu'on roule plutôt chargé, sans beaucoup écorner la consommation (7,4 à 8,4 l./100 selon l'usage). Dans les deux cas, le châssis suit la trajectoire avec un brio certain, un amortissement bien traité, ainsi qu'une bonne agilité urbaine.
REPÈRES
Le ludospace, une spécialité française : Entre breaks et monospaces, le ludospace représente une alternative en matière d'habitabilité, mais sans en avoir le prix. C'est donc sur le marché national que Berlingo, Kangoo et consorts s'ébattent le mieux. Mais l'Italie apprécie aussi cette formule, à travers un Doblo qui est également parvenu à faire sa petite place chez nous. Dans tous les cas, la tendance est à l'embourgeoisement.
Un nouveau train arrière : En gagnant une suspension arrière multi-bras à roues indépendantes sur la génération précédente, à essieu rigide, le nouveau Doblo n'a plus rien d'un utilitaire dans son comportement, désormais riche d'une précision de conduite et d'un confort d'amortissement aussi bien affirmés que sur une routière compacte récente.
Prix
Trois versions essence de 15 150 € (1.4i 95 ch Start&Stop Team) à 17 950 € (1.4i 95 ch Start&Stop Emotion). Sept versions diesel de 16 950 € (1.3 Multijet 90 ch Team) à 22 350 € (2.0 Emotion).
Verdict : 17/20
Sécurité ****
Finition ***
Confort ***
Economie d'usage ****
Séduction/Prix ****
Une ambiance de bord bien travaillée
Très haut et allongé de 14 cm sur son prédécesseur, le nouveau Doblo affiche aussi le meilleur empattement de sa catégorie. L'habitabilité s'y avère donc exceptionnelle pour les cinq places, y compris en largeur aux coudes. Et dans l'énorme coffre peuvent encore s'ajouter deux places supplémentaires, en option (800 €). Evidemment, les sièges de la seconde rangée, fractionnables 60/40, ont toute la modularité voulue pour se replier totalement et offrir, au final, un cubage de fourgonnette.
Le Doblo est muni de deux pratiques portes latérales arrière coulissantes qui facilitent l'accès à bord. L'exécution véhicule particulier se démarque de l'utilitaire par la présence, à l'arrière, d'un grand hayon, en lieu et place de deux portes battantes asymétriques.
Comparativement au Doblo premier du nom, sa relève se signale par une présentation intérieure nettement plus valorisante. Outre une qualité de réalisation convaincante, l'ambiance de bord est plus raffinée dès la finition intermédiaire Dynamic, avec air conditionné manuel, autoradio CD, ou bien pare-chocs et coques de rétros extérieurs peints ton caisse. Et le haut de gamme Emotion ajoute une planche de bord bi-ton (rouge ou grise), avec sièges assortis. Néanmoins, la version de base Team ne mégote pas trop non plus dans sa dotation de série en intégrant déjà 4 airbags, un régulateur de trajectoire ESP, des vitres avant électriques, un verrouillage centralisé des ouvrants, etc.
Au chapitre technique, le nouveau Doblo, toujours fabriqué en Turquie, s'appuie sur les moteurs de la Punto Evo. Au volant, si le 1.3 Multijet a de l'intérêt, notamment pour sa sobriété champion (6,8 l./100 durant notre essai), on gagne un vrai agrément de conduite en optant pour le 1.6 Mtj lorsqu'on roule plutôt chargé, sans beaucoup écorner la consommation (7,4 à 8,4 l./100 selon l'usage). Dans les deux cas, le châssis suit la trajectoire avec un brio certain, un amortissement bien traité, ainsi qu'une bonne agilité urbaine.
REPÈRES
Le ludospace, une spécialité française : Entre breaks et monospaces, le ludospace représente une alternative en matière d'habitabilité, mais sans en avoir le prix. C'est donc sur le marché national que Berlingo, Kangoo et consorts s'ébattent le mieux. Mais l'Italie apprécie aussi cette formule, à travers un Doblo qui est également parvenu à faire sa petite place chez nous. Dans tous les cas, la tendance est à l'embourgeoisement.
Un nouveau train arrière : En gagnant une suspension arrière multi-bras à roues indépendantes sur la génération précédente, à essieu rigide, le nouveau Doblo n'a plus rien d'un utilitaire dans son comportement, désormais riche d'une précision de conduite et d'un confort d'amortissement aussi bien affirmés que sur une routière compacte récente.
Prix
Trois versions essence de 15 150 € (1.4i 95 ch Start&Stop Team) à 17 950 € (1.4i 95 ch Start&Stop Emotion). Sept versions diesel de 16 950 € (1.3 Multijet 90 ch Team) à 22 350 € (2.0 Emotion).
Verdict : 17/20
Sécurité ****
Finition ***
Confort ***
Economie d'usage ****
Séduction/Prix ****
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