C'est devant la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris qu'Orelsan doit connaître en début d'après-midi le délibéré dans cette affaire. Il est poursuivi par plusieurs associations féministes, dont les "Chiennes de garde", pour injure et provocation à la haine. Orelsan avait déjà été relaxé en juin dernier dans un procès similaire.
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