Il commence à boire, perd son travail et entame un parcours de délinquance. Après six "mentions", son suivi socio-judiciaire l'amène à faire une formation en "espaces verts" et à se trouver un logement qui lui permette de recevoir ses enfants un week-end sur deux. Il est abstinent depuis avril 2012. Se croyant "tiré d'affaire", il arrête à la fois d'aller voir son psychiatre.
Le 8 octobre 2012, il frappe son ex-concubine. Puis début 2013, envoie moult SMS où il écrit, entre autres, qu'il va "buter tout le monde". Des messages vocaux, du même acabit, sont retranscrits par les policiers.
Mercredi 17 avril, il répond de ses actes en comparution immédiate. Pour son avocat, son client n'aurait jamais mis ses menaces à exécution. En récidive de violences et menaces, il a finalement été condamné à un an de prison dont quatre assortis d'un sursis. Trois mois d'un précédent sursis sont aussi tombés. Le prévenu a été immédiatement incarcéré. A sa sortie, il devra se soigner et travailler sous surveillance durant deux ans.
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