Seulement, ils revoient leur stratégie. C'est le cas de Nacarat, connu notamment à Rouen pour avoir porté le projet Monet-Cathédrale. "On évitera à tout prix d'aller dans des communes ou des zones pas porteuses", explique Patricia Mieusement, directrice du groupe en Normandie.Pour adapter l'offre à la demande, celui-ci a par exemple dû revoir son projet, anciennement Villa Adeline, dans le quartier Grammont. "Les prix étaient trop élevés. On le revoit en low-cost". Les travaux débuteront cet été.
Changement de décor, à l'endroit du futur quartier Luciline, à l'ouest de Rouen. Là, Nacarat va bâtir, très confiant, son "square Solana". "Il fallait être présent. C'est un quartier attendu".
Ventes en chute libre
Le promoteur, qui étudie deux nouvelles pistes à Rouen, se heurte toutefois à une frilosité extrême de la part des clients et des investisseurs. "Alors que l'on vendait trois logements par semaine l'an passé, on tourne plutôt aujourd'hui à deux par mois"... Mais les grands programmes neufs attirent toujours, grâce à deux atouts de poids : le stationnement et des charges moins élevées.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.