Les salariés réclamaient un rappel de salaires - entre 3.000 et 7.000 euros - concernant leurs pauses, non rémunérées depuis le passage aux 35h dans les années 2000.
L'enseigne a déjà été condamnée à plusieurs reprises pour cette même raison, ailleurs en France. L'affaire sera donc jugée, mais en 2014.
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