"Shell est en effet coupable d’avoir laissé au repreneur du site une double dette : une dette économique et sociale, d’avoir exploité le site et ses salariés avant de les abandonner lorsque la rentabilité a commencé à diminuer, sans jamais consentir à effectuer les investissements qui auraient été nécessaires à l’évolution de cette raffinerie", dénoncent les écologistes haut-normands. "Mais la multinationale Shell a aussi une dette environnementale, puisqu’en se débarrassant du site peu avant son inéluctable liquidation, elle cherchait à se débarrasser de sa responsabilité – onéreuse – de la dépollution du site".
Europe Ecologie-Les Verts n'oublie pas de rappeler que "l’Etat lui accordé, dans des conditions très discutables, le permis d’exploiter des gisements de pétrole d’une valeur de plusieurs milliards dans les eaux territoriales françaises au large de la Guyane".
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