Dans quelles circonstances avez-vous été nommé ?
“Je suis officier supérieur de gendarmerie à la retraite depuis peu. J'ai été contacté fin 2009 pour occuper ce poste. Il a été créé après les incidents majeurs survenus dans des établissements scolaires et il résulte d'un discours du Président de la République en mai 2009 qui avait indiqué qu'il fallait “sanctuariser” l'école”.
Quelles sont vos missions ?
“Avec une équipe mobile de sécurité, je dois être présent aux côtés des chefs d'établissement lors de crises ou de périodes de tensions. Je vais être attentif à la formation car je pense que les proviseurs et les principaux ne sont pas assez préparés à affronter des phénomènes de violence. Je vais apporter mon expérience de la sécurité et de la Gendarmerie tout en faisant preuve de diplomatie et de psychologie”.
Comment sont composées ces équipes mobiles de sécurité ?
“Elles comprennent trois chefs d'établissement, un proviseur de vie scolaire, une assistante sociale, une infirmière et nous sommes souhaitons qu'un animateur de quartier nous rejoigne”.
Est-il réellement besoin de sécuriser les établissement scolaires de l'agglomération caennaise ?
“Globalement, il y a peu de faits de violences recensées en Basse-Normandie. Il se passe quelques petits faits qu'il ne faut certes pas négliger mais qui ne sont pas de nature à inquiéter les élèves, leurs parents ni les enseignants”.
Un diagnostic sécurité de la situation est tout-de-même en cours ?
“Oui, c'est un document qui a été conçu par le ministère de l'Education nationale et qui consiste à faire un bilan de la sécurité extérieure des établissements afin d'éviter les intrusions. Selon les endroits, on peut envisager un contrôle vidéo.”
Est-ce le cas dans nos établissements ?
“Un établissement est exposé s'il se situe dans un quartier où il y a un peu plus “d'animation”. Il peut alors nécessiter une surveillance accrue. Mais la vidéosurveillance n'est pas une fin en soi. Le diagnostic de sécurité permettra de révéler certaines faiblesses. A partir de ce constat, si nécessaire, les chefs d'établissement et leur référent en matière de sécurité étudieront et préconiseront les dispositions à prendre dans leur établissement”.
Quand le diagnostic global sera-t-il connu ?
“Initialement, il devait être achevé pour la fin de l'année 2010 mais nous venons d'être invités par le ministre de l'Education nationale à le réaliser d'ici au 30 juin”.
“Je suis officier supérieur de gendarmerie à la retraite depuis peu. J'ai été contacté fin 2009 pour occuper ce poste. Il a été créé après les incidents majeurs survenus dans des établissements scolaires et il résulte d'un discours du Président de la République en mai 2009 qui avait indiqué qu'il fallait “sanctuariser” l'école”.
Quelles sont vos missions ?
“Avec une équipe mobile de sécurité, je dois être présent aux côtés des chefs d'établissement lors de crises ou de périodes de tensions. Je vais être attentif à la formation car je pense que les proviseurs et les principaux ne sont pas assez préparés à affronter des phénomènes de violence. Je vais apporter mon expérience de la sécurité et de la Gendarmerie tout en faisant preuve de diplomatie et de psychologie”.
Comment sont composées ces équipes mobiles de sécurité ?
“Elles comprennent trois chefs d'établissement, un proviseur de vie scolaire, une assistante sociale, une infirmière et nous sommes souhaitons qu'un animateur de quartier nous rejoigne”.
Est-il réellement besoin de sécuriser les établissement scolaires de l'agglomération caennaise ?
“Globalement, il y a peu de faits de violences recensées en Basse-Normandie. Il se passe quelques petits faits qu'il ne faut certes pas négliger mais qui ne sont pas de nature à inquiéter les élèves, leurs parents ni les enseignants”.
Un diagnostic sécurité de la situation est tout-de-même en cours ?
“Oui, c'est un document qui a été conçu par le ministère de l'Education nationale et qui consiste à faire un bilan de la sécurité extérieure des établissements afin d'éviter les intrusions. Selon les endroits, on peut envisager un contrôle vidéo.”
Est-ce le cas dans nos établissements ?
“Un établissement est exposé s'il se situe dans un quartier où il y a un peu plus “d'animation”. Il peut alors nécessiter une surveillance accrue. Mais la vidéosurveillance n'est pas une fin en soi. Le diagnostic de sécurité permettra de révéler certaines faiblesses. A partir de ce constat, si nécessaire, les chefs d'établissement et leur référent en matière de sécurité étudieront et préconiseront les dispositions à prendre dans leur établissement”.
Quand le diagnostic global sera-t-il connu ?
“Initialement, il devait être achevé pour la fin de l'année 2010 mais nous venons d'être invités par le ministre de l'Education nationale à le réaliser d'ici au 30 juin”.
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