Deux offres devraient être déposées aujourd'hui vendredi 29 mars auprès du tribunal de commerce de Rouen : celle de NetOil, société enregistrée à Panama mais dont le siège social est à Dubai, en lice depuis de longs mois, et celle des Libyens de Murzuq Oil associés aux Suisses de Terrae International.
Ces derniers n'auraient toutefois pas encore obtenu toutes les autorisations administratives nécessaires. Néanmoins, les candidats auront encore quelques jours pour finaliser leur dossier. Le tribunal de commerce de Rouen tranchera le 16 avril.
Rien n'est fait, loin de là. Le scénario de la liquidation judiciaire plane dans toutes les têtes. Pour parer à cette éventualité, l'intersyndicale travaille aussi au reclassement des salariés de la raffinerie. Une centaine d'entre eux pourraient rejoindre Esso France, selon son PDG, pour des postes situés dans la Vallée de la Seine.
A l'heure actuelle, la raffinerie de Petit-Couronne compte 470 salariés. Depuis le début de la crise, il y a plus d'un an, 80 salariés ont préféré quitter l'entreprise, pour rejoindre notamment la raffinerie de Port-Jérôme-Gravenchon, près du Havre.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.