Fabriquée en Grande-Bretagne, elle affiche des dimensions à peine réduites sur sa devancière, révélant néanmoins une silhouette plus élégante, chic et distinguée, donnant l’impression d’un véhicule plus abouti. Tout en conservant une nette filiation avec sa lignée.
Encore agrandi, le coffre s’impose maintenant comme le plus grand de la catégorie, et gagne un hayon motorisé sur la meilleure finition. À l’avant comme à l’arrière, l’habitabilité pour cinq s’avère généreuse, têtes et genoux y trouvant leur compte.
L’aménagement intérieur séduit autant par sa qualité d’exécution que par la position de conduite exemplaire. Quatre niveaux de finition ponctuent la montée en gamme (Comfort, Elegance, Exclusive et Innova), avec un choix plus étendu donné aux diesel, évidemment majoritaires sur le marché hexagonal.
Pour la première fois, la CR-V est proposée en traction avant, mais avec un 2.0 i-VTEC essence de 155 ch, alors que le turbo-diesel 2.2 i-DETEC de 150 ch est connu (à partir de 30.650 €), mais retravaillé pour faire chuter les émissions de CO2. Le fonctionnement des quatre roues motrices non permanentes a aussi été revu, évitant les frottements inutiles.
Au volant, le diesel 150 ch bruisse peu, même à froid, tout en affichant une réactivité proche d’un essence à la remise des gaz, la force d’entraînement à bas régime en plus. Enfin, la CR-V tient sa trajectoire avec assurance, y compris en adhérence précaire où le travail des 4 roues motrices s’avère toujours efficient.
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