Travaillant pour une agence de presse hollandaise, c'est là-bas qu'il a acheté son bateau et adopté ce mode de vie indépendant.
Du courant, mais pas de douche
"C'est arrivé naturellement. Au départ, je ne pensais pas vivre sur mon bateau, qui n'est pas fait pour ça. Mais je l'ai aménagé petit à petit, et ai choisi Caen pour m'installer", se souvient Christian Leroy. "La taille de cette ville me convient bien : on est à la fois proche de Paris et en plein centre-ville." Le confort, lui, est précaire.
Il y a l'électricité, mais le chauffage ne suffit pas toujours à réchauffer l'habitacle. Pour se laver, c'est à la capitainerie ou dans un club de sport que le plaisancier peut prendre une douche. Pas de connexion internet non plus. Alors pour travailler, le journaliste doit se rendre à Colombelles, où un espace de "co-working" accueille les travailleurs sans bureaux. Pour le reste, "vivre sur un bateau, ça crée des liens. Il y a de la place, et le cadre est parfait : notre jardin change en permanence !"
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