Si la forme du Te Deum est un classique de la musique sacrée, les deux compositeurs proposent ici des versions radicalement différentes. Le compositeur favori de Louis XIV, Lully, compose suivant la mode du motet versaillais, un Te Deum à l'occasion de la naissance de son fils dont le roi sera le parrain.
Davantage connu pour sa musique profane, Lully n'en signe pas moins une orchestration magistrale aujourd'hui oubliée au bénéfice du Te Deum plus martial de Charpentier, conçu pour célébrer la victoire militaire de Louis XIV sur la ligue d'Augsbourd.
Pratique. Dimanche 17 mars, à 16h, Théâtre des arts de Rouen. Infos. sur www.operaderouen.fr
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