Pas de droit à l’erreur. Il sera là pour longtemps, et pas question de le déplacer !
L’emplacement
Près de la maison, il est toujours séduisant. Il sera en outre plus facile d’amener l’électricité pour installer système de filtration, fontaine ou éclairage. La proximité d’un sentier ou d’une allée est un plus : un accès aisé facilite l’installation et permet de profiter du bassin à chaque passage.
Importants également, le dégagement et l’ensoleillement. Ni les poissons ni les plantes aquatiques ne peuvent s’épanouir dans le voisinage ombreux de grands arbres.
La taille
Ne lésinez pas, faites-le aussi grand que la place le permet. Un bassin de 4 m2 est un minimum. Quant à la profondeur, prévoyez une plate-forme sur l’un des côtés de 20 à 25 cm pour poser les plantes d’eau. Les poissons rouges vivent bien dans 45 à 60 cm, et les carpes koïs, qui peuvent atteindre une taille conséquente, ont besoin d’un bon mètre. Prévoyez donc une partie plus profonde.
La construction
Une fois le trou creusé, le fond du bassin sera nettoyé de toute pierre ou racine et recouvert d’une bonne couche de sable (3 cm) sur laquelle sera posée une sous-couche de protection (une vieille moquette fera très bien l’affaire) pour un fond sans aspérité.
Puis, afin d’assurer l’étanchéité, un film souple et épais (liner) recouvrira le tout en débordant largement, par sécurité. Ce n’est qu’une fois le bassin en eau que vous pourrez égaliser les bords du liner. Fixez-les et recouvrez les parties en excès de terre ou de pierres. Puis passer à la maçonnerie pour élaborer les bordures.
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