C'eest ce que démontre l'éventail de formations proposé à l'Esigelec, école d'ingénieurs généralistes basé au Madrillet, à Saint-Etienne-du-Rouvray.
De l'aéronautique au secteur médical
Durant les trois premiers semestres, les étudiants en électronique, informatique et génie électrique suivent une formation issue d'un tronc commun généraliste. C'est ensuite que chaque élève suit une matière "dominante". Le futur ingénieur en électronique peut opter pour l'étude de systèmes électroniques de télécommunication. Il aura la possibilité de travailler pour des sociétés comme Thalès, à l'élaboration de radars fixes ou militaires, par exemple. D'autres choisissent l'ingénierie dans le secteur des communications, dédié à la mise en place d'infrastructures dans les télécommunications.
Une autre "dominante" est consacrée aux systèmes embarqués - comme des cartes électroniques ou encore des logiciels informatiques. Sans parler de toute l'ingénierie médicale (monitoring, etc.). "Le secteur de l'électronique offre un pannel de métiers très large", indique Habib Baldé, directeur des formations à l'Esigelec.
Actuellement, l'Esigelec forme 450 élèves par promotion, divisée entre une quinzaine de matières dominantes. "C'est un secteur qui attire beaucoup, spécialement dans les domaines qui ont trait aux systèmes embarqués", note Habib Baldé. Côté débouchés, près de 80 % des jeunes diplômés trouvent un travail au bout de trois mois. Il faut dire que le stage de troisième année débouche fréquemment sur une embauche.
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