Or, c’est sur ce site industriel qu’est fabriqué le premier 3 cylindres essence du groupe, dit “EB”, étrenné l’été dernier par la Peugeot 208, avant son installation, à l’automne dernier, sous le capot de la Citroën C3.
La côte sans s’essouffler en troisième
Ici, il ne s’agit pas d’une simple variante moteur supplémentaire, mais bien d’une nouvelle génération de petits propulseurs, pour l’instant déclinés - en France - sous deux niveaux de puissance : 1 litre de 68 ch (soit 10 ch de mieux que le 4 cylindres 1.1i antérieur, à partir de 13 700 €), et 1,2 litre de 82 ch (9 ch de plus que le 1.4i remplacé, à partir de 16 100 €). Sur de nombreux points, ils changent la donne, grâce à une modernité constitutive ayant pour objet la diminution de la consommation comme des émissions de CO2 (comprises entre 99 et 107 g/km), tout en assurant concomitamment de meilleures performances dynamiques sur les blocs remplacés.
Au volant du 1.2 VTi de 82 ch, la C3 bénéficie ainsi d’un certain allant dans ses accélérations, en ville comme sur la route. Car les 1.050 kg du modèle (en Exclusive) ne pèsent que modérément au regard de sa capacité à grimper une petite côte en 3e vitesse aux allures normales, et sans s’essouffler, grâce à son couple maxi de 118 Nm à 2.750 tr/mn.
Sans vraiment faire attention, la consommation tourne autour des 6,5 l./100, laissant augurer une amélioration facile en posant un hérisson sur l’accélérateur
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