La Cour d'appel de Caen a ainsi renforcé la peine infligée en première instance par le tribunal de Lisieux à la propriétaire d'un haras. Cette dernière est accusée d'avoir exploité un réfugié cambodgien jugé vulnérable.
L'homme d'une cinquantaine d'années, travaillait 10 heures par jour pour 150 € par mois, et ce pendant 6 ans. Sa patronne, 44 ans, a donc été condamnée à un an de prison avec sursis et devra régler 12 000 € de dommages et intérêts.
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