Mardi 5 février, pas moins de cinq repreneurs déposaient une offre pour la reprise du site de Petit-Couronne. Mais, le lendemain, les administrateurs annonçaient qu'aucun des dossiers n'était "recevable en l'état". Conséquence : un plan de sauvegarde de l'emploi (PSE), avec licenciements à la clé, sera amorcé dès le milieu du mois de mars.
Rien n'est joué pour autant. Car la société égyptienne Arabiyya Kek Istithmaraat, désormais soutenue par le gouvernement français, a annoncé que cette décision "ne perturbait pas sa détermination".
Elle devrait lancer les prochains jour un audit complet de la raffinerie, confié à quatre cabinets. Si elle le juge convaincant, elle déposera une offre fin mars. La société libyenne Murzuk Oil serait elle aussi encore sur les rangs. Pour rappel, l'activité de l'usine a été prolongée jusqu'au 16 avril.
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