Fini les grands ensembles gris, les formes sont désormais modernes et les couleurs et le bois redonnent un peu d'âme aux lieux. Avant d'en arriver là, il avait fallu détruire pas moins de 520 logements. L'opération, lancée il y a sept ans par le bailleur social Immobilière Basse Seine (IBS), a coûté 38 millions d'euros. "Le renouveau du Châtelet est un exemple de transformation réussie dans le cadre de la politique de rénovation urbaine de l'ANRU", estime IBS.
Le "nouveau" Châtelet se compose des résidences Orson Welles (66 logements), dont l'architecte n'est autre que Frédéric Borel, "Les Provinciales" (87 logements dont 6 maison individuelles) et Jean-Renoir (41 logements), ainsi que des 122 logements réhabilités de l'îlot Esclangon et des tours Niepce et Méliès.
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