Deux de ces offres "paraissent sérieuses et financées", a annoncé le ministère du Redressement productif. "Il s'agit de l'investisseur suisse Terrae et de l'énergéticien égyptien Arabiyya Lel Istithmaraat", a précisé le ministère, ajoutant que "le gouvernement a accompagné ces repreneurs et poursuit ses efforts au côté des industriels de manière à rendre possible la reprise de la raffinerie".
Dans un coup de théâtre au soir d'une journée d'anxiété pour les salariés de Petroplus qui ont manifesté dans un vent froid devant le site rouennais, le représentant du groupe égyptien en France, Michel Billard de la Motte, a assuré à l'AFP avoir déposé "un plan de reprise complet de la raffinerie de Petit-Couronne", qui prévoit "la reprise de la totalité du personnel", sauf une soixantaine de salariés qui veulent prendre leur retraite.
L'offre concerne aussi une société implantée en région parisienne, qui détient des participations dans des oléoducs et des dépôts pétroliers, a-t-il précisé. "C'est un plan complet en plusieurs points: création d'une société de droit français et d'un conseil d'administration avec des personnalités françaises, financement des investissements en 2013-2014 (...), ainsi qu'un plan de recrutement et de formation", a-t-il détaillé.
De son côté, la CGT avait indiqué auparavant qu'au moins trois offres avaient été déposées, précisant qu'elles émanaient, outre Istithmaraat, du groupe NetOil basé à Dubaï et contrôlé par l'homme d'affaires libano-américain Roger Tamraz, et du groupe libyen Murzuk basé dans la ville du même nom dans le sud de la Libye.
Interrogé sur Canal+, le porte-parole de l'intersyndicale, Yvon Scornet , a précisé que ces trois offres prévoyaient "en gros" la reprise de l'ensemble du personnel. "Hier on voulait nous mettre à mort, aujourd'hui nous sommes contents, on va pouvoir travailler sur des dossiers qui vont permettre une cession et de ne pas être ce domino qui va entraîner encore d'autres dominos derrière", s'est-il réjoui.
Interrogé sur France 3 Haute Normandie, un autre représentant de la CGT, Nicolas Vincent, a rapporté que le gouvernement jugeait l'offre égyptienne "sérieuse" et était prêt à engager le Fonds stratégique d'investissement (FSI) dans la reprise de Petroplus.
Sans les offres présentées avant la date butoir ce mardi, une liquidation du site paraissait inéluctable.
Dans un coup de théâtre au soir d'une journée d'anxiété pour les salariés de Petroplus qui ont manifesté dans un vent froid devant le site rouennais, le représentant du groupe égyptien en France, Michel Billard de la Motte, a assuré à l'AFP avoir déposé "un plan de reprise complet de la raffinerie de Petit-Couronne", qui prévoit "la reprise de la totalité du personnel", sauf une soixantaine de salariés qui veulent prendre leur retraite.
L'offre concerne aussi une société implantée en région parisienne, qui détient des participations dans des oléoducs et des dépôts pétroliers, a-t-il précisé. "C'est un plan complet en plusieurs points: création d'une société de droit français et d'un conseil d'administration avec des personnalités françaises, financement des investissements en 2013-2014 (...), ainsi qu'un plan de recrutement et de formation", a-t-il détaillé.
De son côté, la CGT avait indiqué auparavant qu'au moins trois offres avaient été déposées, précisant qu'elles émanaient, outre Istithmaraat, du groupe NetOil basé à Dubaï et contrôlé par l'homme d'affaires libano-américain Roger Tamraz, et du groupe libyen Murzuk basé dans la ville du même nom dans le sud de la Libye.
Interrogé sur Canal+, le porte-parole de l'intersyndicale, Yvon Scornet , a précisé que ces trois offres prévoyaient "en gros" la reprise de l'ensemble du personnel. "Hier on voulait nous mettre à mort, aujourd'hui nous sommes contents, on va pouvoir travailler sur des dossiers qui vont permettre une cession et de ne pas être ce domino qui va entraîner encore d'autres dominos derrière", s'est-il réjoui.
Interrogé sur France 3 Haute Normandie, un autre représentant de la CGT, Nicolas Vincent, a rapporté que le gouvernement jugeait l'offre égyptienne "sérieuse" et était prêt à engager le Fonds stratégique d'investissement (FSI) dans la reprise de Petroplus.
Sans les offres présentées avant la date butoir ce mardi, une liquidation du site paraissait inéluctable.
Le contenu des offres doit être exposé aux 470 salariés mercredi, lors d'un comité d'entreprise à partir de 14H30. L'administrateur judiciaire doit transmettre les offres mercredi au tribunal de commerce qui, le cas échéant, fixera une date d'audience dans les deux à trois semaines qui viennent, selon le syndicat.
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