Une ouverture du supermarché 7 jours sur 7, malgré la loi qui exige un jour de fermeture hebdommadaire.
Conséquence, la majorité des clients de l'épicier sont partis au supermarché, et lui mettra la clef sous la porte, d'ici la fin ce de mois de février. Il perd 1.500 euros de chiffre d'affaire par mois, depuis juin dernier et sa banque ne le suit plus.
D'autres commerçants de Sées seraient dans une situation comparable. L'union commerciale (Caac) s'était mobilisée jusqu'en décembre, mais rien n'y a fait.
Aujourd'hui, le couple d'épicier envoie une "lettre ouverte" au préfet de l'Orne.
Ecoutez ci-dessous l'épicier André Huger :
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