"Le site de l'Aitre est on le sait 'chef d'œuvre en péril', il fallait engager un projet de relocalisation total ou partiel pour y effectuer des travaux mais la méthode est détestable et méprisante tant vis à vis de l'équipe pedagogique et des etudiants (...), que des acteurs de la vie du quartier. Tous, sans exception ont été mis devant le fait accompli", estime la sénatrice rouennaise.
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