Avec un répertoire constamment enrichi par des textes à la fois simples, souples et sensibles, elle abandonne momentanément les échos manouches du précédent opus pour une version plus tendre et drôle, où elle passe ses nerfs et ses humeurs contre les frasques de ses contemporains. Brune à caractère, elle investit la scène de sa présence lumineuse.
Prenant parfois les accents vulgaires de Piaf ou des élans osés de rage et d’un humour plus ou moins tendre, elle est aujourd’hui une digne héritière de Catherine Ringer. Car elle cultive comme elle le goût des historiettes, auxquelles elle ajoute des inventaires à la Prévert, passant avec une facilité déconcertante de l’aïgu au grave.
Pratique. Jeudi 7 février, à 20h, Théâtre Charles Dullin, à Grand-Quevilly. Tarifs 11/15/20 €. 02 35 68 48 91
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