Jean-François Forget dénonce le sous effectif dans l’établissement.
Il a notamment découvert qu'avant même l'accueil des premiers détenus « longue peine », des postes de gardiens sont déjà supprimés au sein du centre pénitentiaire !
C'est pour lui inacceptable: la sécurité des détenus, des gardiens et de la population d'Alençon est en jeu. De retour à Paris, il va rencontrer l'administration pénitentiaire, voire la Ministre.
"Si le compte de gardiens n'y est pas, le centre n'ouvrira pas", prévient-il.
Son interview est à écouter ci-dessous :
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