Économie : un mot qui est sur toutes les bouches quand on évoque le cas du Centre hospitalier universitaire (CHU) de Caen. Son directeur, Angel Piquemal, ne s'en cache pas. Si lon veut avancer, il faut que nos finances reviennent à léquilibre, le plus vite possible. Aujourdhui, notre dette est trop grande et les banques ne nous suivraient pas. Notamment dans le cas dune reconstruction de la tour Côte de Nacre dont la faisabilité ne fait plus éveiller de doutes.
Vendre au plus vite
Outre le projet médical qui doit être redéfini cette année et la date des travaux concernant la fameuse reconstruction, lavenir dune autre structure du CHU suscite linterrogation : le Centre hospitalier régional (CHR). Clémenceau, comme le dénomme la majorité des Caennais, a vu une partie de ses effectifs quitter les lieux au mois de décembre dernier pour investir le nouveau pôle femmes-enfants-hématologie. Mais, il reste toujours 800 praticiens travaillant sur place. Ils sont répartis dans plusieurs services de soins, médico-techniques, administratifs et enfin dans des laboratoires.
Le directeur est très clair sur les velléités de se séparer du second centre hospitalier caennais : Nous voulons vendre Clémenceau le plus vite possible, a-t-il expliqué.
Et les négociations ont déjà démarré avec la ville de Caen. Les terrains quelle pourrait acquérir dici à quelques mois sont situés dune part sur la zone nord-est du CHR, en friche depuis quelques années et dautre part sur un autre site jouxtant lAbbaye-aux-Dames.
Mais la Mairie nest pas la seule à montrer un vif attrait pour ces terrains. Le Conseil régional est également intéressé pour étendre ses locaux.
Quant aux services restants, pour le directeur du CHU, celui de néphrologie-hémodialyse sera rapatrié prioritairement sur le site Côte de Nacre. Les autres services devraient emprunter rapidement le même chemin tant les besoins dargent semblent nécessaires.
Vendre au plus vite
Outre le projet médical qui doit être redéfini cette année et la date des travaux concernant la fameuse reconstruction, lavenir dune autre structure du CHU suscite linterrogation : le Centre hospitalier régional (CHR). Clémenceau, comme le dénomme la majorité des Caennais, a vu une partie de ses effectifs quitter les lieux au mois de décembre dernier pour investir le nouveau pôle femmes-enfants-hématologie. Mais, il reste toujours 800 praticiens travaillant sur place. Ils sont répartis dans plusieurs services de soins, médico-techniques, administratifs et enfin dans des laboratoires.
Le directeur est très clair sur les velléités de se séparer du second centre hospitalier caennais : Nous voulons vendre Clémenceau le plus vite possible, a-t-il expliqué.
Et les négociations ont déjà démarré avec la ville de Caen. Les terrains quelle pourrait acquérir dici à quelques mois sont situés dune part sur la zone nord-est du CHR, en friche depuis quelques années et dautre part sur un autre site jouxtant lAbbaye-aux-Dames.
Mais la Mairie nest pas la seule à montrer un vif attrait pour ces terrains. Le Conseil régional est également intéressé pour étendre ses locaux.
Quant aux services restants, pour le directeur du CHU, celui de néphrologie-hémodialyse sera rapatrié prioritairement sur le site Côte de Nacre. Les autres services devraient emprunter rapidement le même chemin tant les besoins dargent semblent nécessaires.
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