"Le protocole de traitement est ajusté pour formaliser les dernières opérations dans les conditions de sécurité maximales et en prenant le temps nécessaire. Par mesure de précaution, le Préfet, Pierre-Henry Maccioni, a maintenu le plan particulier d'intervention", expliquait la préfecture de Seine-Maritime dimanche 27 janvier en fin de soirée.
C'est le traitement du fond de la cuve contenant du dithiophosphate de zinc, d'où s'échappe depuis le lundi 21 janvier le nauséabond mercaptan, qui prend finalement plus de temps que prévu. "Il faudra encore plusieurs jours", explique-t-on du côté de la préfecture.
Par ailleurs, la société Lubrizol a été autorisée à redémarrer, au sein d'autres unités de son site rouennais, le conditionnement et l'enlèvement des produits finis nécessaires à la fabrication d'automobiles.
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