Cela lui a donné l’idée de mettre son savoir-faire au service des entreprises en créant la société ADN’tox.
"Les sociétés m’envoient des échantillons issus d’organismes vivants prélevés sur le terrain. Je les analyse et identifie si leur ADN a subi des dommages en lien avec une pollution". Cette initiative, unique en France, reçoit le soutien de l’Université de Caen et du Centre Baclesse qui l’accueille dans ses locaux.
Cependant, Jérémie Legoff est dans l’attente d’une réglementation qui obligerait les entreprises à contrôler leur impact sur l’homme et sur l’environnement. "A certains postes de travail, nous pourrions mieux connaître les risques potentiels de cancer et remédier le plus vite possible aux altérations subies par l’ADN des personnes exposées".
ADN’Tox travaille aussi sur l’impact environnemental des plate-formes pétrolières offshore, notamment en Norvège. La société est également sous-traitant de l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (IFREMER) pour qui elle réalise des analyses sur des organismes sentinelles, par exemple le foie de certains poissons.
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