Des urnes en plomb qui le contenaient, il ne reste plus rien. A part quelques fragments. Et du cœur, un peu de poussière.
Analyses en cours
La découverte ne date pas d’hier puisqu’elle fut faite en juillet 1838. Achille Deville, directeur du Musée des Antiquités de Rouen, retrouve alors le gisant de celui qui fut roi d’Angleterre, duc de Normandie et d’Aquitaine. Et, dans deux urnes en plomb, d’époque, placée dans un des piliers de la cathédrale, les restes royaux.
N’en déplaise aux curieux, le célèbre cœur n’est pas visible. “Etant donné ce qu’il en reste, cela n’a pas vraiment d’intérêt de l’exposer au sein du musée”, explique Caroline Dorion-Peyronnet, conservatrice au musée. Historiquement, c’est autre chose : des analyses ont été faites par Philippe Charlier, médecin légiste anthropologue, afin de déterminer les techniques utilisées pour embaumer l’organe. Les résultats devraient être publiés prochainement.
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