Il joue avec cette lumière qui est partout présente et laisse le soin à notre imagination de créer les images de ce qu’il ne montre pas. Un jeu sur le visible et l’invisible, sur le suggéré et le démontré. Ce n’est pas pour le refus de l’esthétisation de la guerre qu’il a fait ce choix de cadrage, mais pour l’envie de montrer que la transmission de la mémoire est encore possible venant d’une génération qui n’a pas connu la guerre. Emmanuel Berry expose ses photographies à l’Artothèque, dans les locaux de l’Hôtel d’Escoville avant le déménagement, prévu cet été, dans le palais ducal restauré.
Pratique. Jusqu’au 23 février à l’artothèque de Caen. Entrée libre. Renseignements au 02 31 85 69 73.
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