"Cela prend plus de temps que prévu", explique Olivier Clatot, chargé de communication à l'usine Lubrizol de Rouen. Les ingénieurs de la Dreal (direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement) valideraient actuellement le "protocole de neutralisation" qui permettra, à terme, d'arrêter définitivement les dégagements de mercaptan, ce gaz à odeur nauséabonde non toxique, selon les autorités, à ces taux de concentration. "Les dégagements ont toutefois diminué depuis quelques heures", indique Lubrizol.
Dans le courant de la nuit, portée par des vent d'ouest, l'odeur a été ressentie dans une grande partie de la région parisienne. Les standards téléphoniques des pompiers ont alors été, comme en Seine-Maritime, largement débordés.
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