Après “le sursaut” de l’année 2012 marquée aussi par un nouveau contrat quinquennal et le changement de présidence de l’université, “les engagements pour l’exercice 2013 ne pourront être tenus”, a indiqué Pierre Sineux lors de ses vœux, “notamment à cause de l’augmentation des dépenses liées à la masse salariale”.
Elles devront être réduites, et les structures de l’université, allégées. Le président se tourne vers le prochain contrat de 2016, pour “ne pas faire de l’urgence un mode de fonctionnement.”
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