Alors que l'activité devait s'arrêter le 16 janvier selon la dernière autorisation accordée par le même tribunal de commerce, ce dernier a accordé trois mois de plus d'activité à la raffinerie, soit jusqu'au 16 avril.
La demande avait été formulée par le procureur de la République, soutenu par l'intersyndicale. Selon celle-ci, c'est la dernière autorisation que le juge pourra accorder à la raffinerie de Petit-Couronne. Par ailleurs, les repreneurs potentiels ont jusqu'au 5 février pour déposer d'éventuelles offres de reprise.
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