On ne la perçoit pas forcément distinctement, mais elle contribue à apporter du sang neuf ! L’habitabilité fait partie des points forts. Présentation intérieure, qualité des matières, ergonomie du poste de conduite et aspects pratiques s’avèrent aussi à l’abri de la critique. Cinq finitions ponctuent une dotation d’équipement qui incorpore des aides à la conduite multiples et raffinées.
Mais c’est bien la définition technique de la CX-5 qui porte l’essentiel de sa personnalité, avec une forte rigidité de caisse compatible avec une masse véhicule favorable. Et toute performance mécanique a été passée au tamis SkyActiv, la nouvelle approche du modernisme technique selon Mazda. Ainsi, le bloc 2.0i à injection directe se signale par un taux de compression extrêmement élevé pour un essence (14:1) mais ce ratio, appliqué aux diesel, en fait le plus faible du monde ! La finalité étant ici de raboter au maximum les consommations et les émissions de CO2.
Au volant d’une CX-5 traction avant (à partir de 24 890 € en essence 2.0i 165 ch), le “toucher de route” transpire d’une certaine sportivité, avec une direction plutôt directe ou des freins mordants. Mais surtout, le bloc diesel de 2,2 litres 150 ch, associé à une boîte auto agréablement réactive, lui donne des ailes et une petite conso (8,2 l./100). Insonorisation et confort de suspension enjolivent l’ensemble.
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