L'instance collégiale régionale des urgences hospitalières a signé, vendredi 15 janvier, à l'espace Claude Monet, à Caen, une convention pour la mise en place notamment d'urgences par 'spécialité.
Soins égaux pour tous
Lobjectif est de permettre, entre autres, aux patients dêtre pris en charge le plus rapidement possible dans létablissement le mieux équipé pour les soigner. Une personne, habitant à Vire, souffre dune douleur à la poitrine. Arrivées sur place, les équipes durgence du Samu (le 15) diagnostiquent un infarctus. Dès ce moment, il faut que le patient soit très vite sur une table dangiographie. Encore faut-il que cette table soit libre, savoir où elle est et quelle est la procédure pour y accéder. En Basse-Normandie, il y a deux tables de ce type. Elles sont à Caen, au CHU de Caen et au CHP Saint-Martin. Et puis, les médecins spécialisés doivent être identifiés et disponibles. Il faut donc une vraie coordination dans la prise en charge pour que le patient soit traité rapidement et efficacement, explique le professeur Eric Roupie, chef de service des urgences au CHU de Caen.
Mais lambition des urgentistes va au-delà de cette réorganisation pour aboutir à un véritable maillage régional.
Lensemble des acteurs doit bénéficier d une meilleure information. Lorsquun médecin arrive en Basse-Normandie, il faut quil connaisse très vite ses confrères et leurs spécialités.
Dans le cadre de cette mise en place dun maillage régional, un Répertoire opérationnel des ressources (RQR) devrait bientôt voir le jour. Par ailleurs, la signature de cette convention doit enfin permettre une meilleure information des médecins. Afin quils soient au courant des évolutions de la médecine, des guides de bonnes pratiques cliniques devraient être créés.
Les urgences de Basse-Normandie sont, à présent, en marche pour répondre aux exigences dune médecine du 21e siècle.
Soins égaux pour tous
Lobjectif est de permettre, entre autres, aux patients dêtre pris en charge le plus rapidement possible dans létablissement le mieux équipé pour les soigner. Une personne, habitant à Vire, souffre dune douleur à la poitrine. Arrivées sur place, les équipes durgence du Samu (le 15) diagnostiquent un infarctus. Dès ce moment, il faut que le patient soit très vite sur une table dangiographie. Encore faut-il que cette table soit libre, savoir où elle est et quelle est la procédure pour y accéder. En Basse-Normandie, il y a deux tables de ce type. Elles sont à Caen, au CHU de Caen et au CHP Saint-Martin. Et puis, les médecins spécialisés doivent être identifiés et disponibles. Il faut donc une vraie coordination dans la prise en charge pour que le patient soit traité rapidement et efficacement, explique le professeur Eric Roupie, chef de service des urgences au CHU de Caen.
Mais lambition des urgentistes va au-delà de cette réorganisation pour aboutir à un véritable maillage régional.
Lensemble des acteurs doit bénéficier d une meilleure information. Lorsquun médecin arrive en Basse-Normandie, il faut quil connaisse très vite ses confrères et leurs spécialités.
Dans le cadre de cette mise en place dun maillage régional, un Répertoire opérationnel des ressources (RQR) devrait bientôt voir le jour. Par ailleurs, la signature de cette convention doit enfin permettre une meilleure information des médecins. Afin quils soient au courant des évolutions de la médecine, des guides de bonnes pratiques cliniques devraient être créés.
Les urgences de Basse-Normandie sont, à présent, en marche pour répondre aux exigences dune médecine du 21e siècle.
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