Or, derrière ce chiffre se cache une situation financière guère reluisante. En cause : une augmentation de la précarité conduisant à une hausse des dépenses sociales du Département. Un phénomène aggravé par la baisse des recettes : la suppression de la taxe professionnelle et la diminution des dotations de l’Etat représenteraient un manque à gagner d’environ 200 millions d’euros en 2013.
Du coup, des économies seront réalisées : près de 26 millions d’euros en 2013, répartis sur les charges générales, telles le parc de véhicules ou l’informatique (4 millions), la masse salariale (3 millions) ou la politique sportive (1 million). Ajoutez à cela une baisse de 10 % du budget de communication et une hausse des impôts (+2,82 points du taux de foncier bâti), et vous obtenez un budget de crise. “De vérité”, préfère Didier Marie, le président du Conseil général.
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