Certains la savourent dès le mois de décembre mais la tradition veut que l’on ne la mange qu’à partir du 6 janvier, jour de l’Epiphanie.
Dans les coulisses de la boulangerie des Essarts, les pâtissiers s’activent déjà depuis quelques jours. "Pour faire une bonne galette, il faut avant tout des matières premières de qualité. Beaucoup de beurre et de la poudre d’amandes. Et de bons ouvriers", glisse l’un des pâtissiers dans un sourire. Et pour attirer les gourmands, depuis l’an passé, Sophie et Franck Vanlerberghe ont trouvé une solution originale.
A partir du 6 janvier, chaque semaine jusqu’à la fin du mois, les clients pourront trouver, dans leur galette, une fève dorée à l’or fin. Déposée par un huissier, elle fera gagner à l’heureux roi ou reine un louis d’or, d’une valeur de 150 à 200 €.
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