Cette opérette romantique est une des dernières œuvres du compositeur autrichien d’origine hongroise Franz Léhar. Saluée dès sa sortie en 1923 par le public viennois, elle reste aujourd’hui représentative du goût de l’époque pour l’exotisme de l’Extrême-Orient, au même titre que le Turandot de Puccini. Composée pour mettre en valeur les qualités vocales de son interprète de prédilection Richard Tauber, cette opérette reprend une œuvre plus ancienne de Léhar, La tunique jaune.
Si le livret est assez fade, il donne néanmoins un souffle nouveau à l’opérette en privilégiant une palette orchestrale généreuse.
Pratique. Samedi 5 janvier, à 20h, Théâtre Charles Dullin, au Grand-Quevilly. Tarifs 15/19 €.
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