C’est une histoire compliquée, ponctuée de disputes et de réconciliations. Le 25 septembre, à 3 heures du matin, la jeune femme donne le biberon à leur fille. Tandis qu’elle s’apprête à la changer, le prévenu l’aurait insulté puis frappé. "Casse-toi ! Tire-toi", lui crie-t-elle. Peu après, elle porte plainte au commissariat mais la retire quelques jours plus tard. "Le 3 octobre, à 23h30, il a fallu que je parte. Il m’a mis l’enfant, qui pleurait, dans les bras", affirme-t-elle.
Le couple reprend finalement la vie commune mais rompt définitivement fin octobre. La victime revient alors au poste de police dénoncer insultes et harcèlements et se plaint d’être suivie. L’enquête est rouverte.
L’ex-compagnon, placé en garde vue, nie les violences. Il traite la victime de "manipulatrice". Comment expliquer les déclarations des précédentes compagnes qui dénoncent une jalousie maladive ? Un comportement violent ?
L’ex a été condamné à une peine mixte : 12 mois d’emprisonnement dont 6 mois avec sursis assortis d’une mise à l’épreuve de 2 ans.
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