Le 9 janvier dernier, vers 22h, les voisins du dessus reçoivent bruyamment leurs enfants. "Je suis montée parce qu’ils ont réveillé les enfants qui, le lendemain, devaient aller à l’école", explique la voisine du dessous. "J’ai demandé au voisin de faire moins de bruit. Il m’a agressée. Il m’a bousculée. Quand je partais, il a passé ses mains sous mes aisselles et m’a touchée la poitrine ! Cela a duré deux ou trois secondes ! Après je suis allé chez mon ami et ai appelé la police."
Le senior refuse d’ouvrir aux forces de l’ordre. Elles le convoquent donc ultérieurement au commissariat. Trois jours plus tard, en garde à vue, le prévenu reconnaît l’avoir envoyée balader. "Je l’ai poussée par les épaules mais je ne l’ai pas agressé sexuellement !" Les témoins indirects sont également entendus. "Il était ivre mort ce soir-là ! Il titubait", indique le gendre du prévenu.
S’agit-il réellement d’une agression sexuelle ? Le 10 décembre dernier, le tribunal correctionnel de Rouen a relaxé le prévenu, au bénéfice du doute.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.