Pour combattre le froid qui s’est emparé des rues du centre-ville ces dernières semaines, Nicole Daragont alimente sa passion pour les santons. Présente sur le marché de Noël depuis une douzaine d’années, elle connaît tout de leur histoire. "C’est essentiel ! Pour pouvoir les vendre, il faut être passionnée", affirme-t-elle.
La laitière a la cote
Et tous les ans, près de 300 clients fidèles la retrouvent, que ce soit sur la place du théâtre pour les premiers marchés de Noël, puis le long du boulevard Leclerc, avant d’atterrir cette année sur la place Saint-Sauveur. Sa responsable, Florence Amy, directrice de l’enseigne Les Deux Provençales, maintient un chalet sur le marché de Noël de Caen depuis 1997. "On a toujours senti que Caen était une ville prometteuse en matière de santons, et du coup, on les a même adaptés pour que certains renvoient à l’imaginaire normand, comme la laitière ou la vache."
Si elle tient à souligner l’écoute du Comité d’organisation du marché, Nicole Daragont se félicite quant à elle, de la musique "plus dynamique et présente cette année. Mais, cela manque encore d’animation et lePère Noël est assez peu visible".
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