Quelle est la teneur de ce projet ?
Nous souhaitons permettre à la région Basse-Normandie de disposer dune véritable faculté de médecine, en terme dinfrastructure. Car sa qualité denseignement existe déjà et elle est même remarquablement reconnue à léchelle nationale. Nous désirons aussi rassembler à terme, sur un site unique, la faculté de médecine avec toutes les formations paramédicales ainsi que les laboratoires universitaires de biologie qui sont, pour linstant, éparpillés dans différents sites sur lagglomération caennaise. Nous aurons là une véritable concentration de connaissances et de capacités denseignement dans le domaine du médical.
Dans la mise en place de ce projet, vous avez eu, semble-t-il, des difficultés pour trouver le terrain ?
Ce sont toujours des projets très lourds à mener, à tous les niveaux : financièrement, techniquement mais aussi administrativement. Oui, cela a été difficile et surtout compliqué de pouvoir dégager une emprise de 20 000 m2. Dans Caen, sur cette partie Côte de Nacre bordant le périphérique, il y a des enjeux fonciers extrêmement lourds. Cest ce qui a pris du temps. Cest pourtant lun des enjeux majeurs du contrat de projet que le Conseil régional a signé avec lEtat il y a deux ans. Cest un des dossiers phares pour la région. Il est extrêmement important que nous consolidions ce pôle denseignement médical et que nous donnions aux enseignants et aux étudiants, qui seront autour de 4 000, dexcellentes conditions denseignement à Caen.
La situation était-elle devenue intenable ?
Elle nétait pas facile et ne favorisait pas les énergies, les échanges. Lorsque vous avez un laboratoire dun côté, une école paramédicale de lautre, tout cela nécessite dêtre revu. Et puis, on sait bien que les conditions denseignement ne sont plus du tout adaptées aux besoins daujourdhui parce que la faculté de Caen est reconnue, parce quil y a une nécessité de bénéficier dune autre qualité. Cest donc notre premier objectif. Le second, cest de renforcer limage du pôle caennais. Non pas en terme de communication, mais en terme de cohérence entre la qualité des infrastructures et celle des enseignements, afin de faire de ce pôle un site nationalement reconnu.
A quelques mois des élections régionales, ce projet nest-il pas destiné à valoriser laction que vous avez menée depuis six ans ?
Cest un projet qui démontre la qualité de laction régionale. Les études ont été lancées en 2005 et le projet a été inscrit au contrat de plan Etat-Région en 2007. Lacquisition du terrain, signée avec le CHU, va permettre de passer au stade de la construction. Une équipe technique rendra ses conclusions dans quelques mois à partir desquelles nous allons lancer les appels doffres nécessaires pour démarrer le chantier.
Nous souhaitons permettre à la région Basse-Normandie de disposer dune véritable faculté de médecine, en terme dinfrastructure. Car sa qualité denseignement existe déjà et elle est même remarquablement reconnue à léchelle nationale. Nous désirons aussi rassembler à terme, sur un site unique, la faculté de médecine avec toutes les formations paramédicales ainsi que les laboratoires universitaires de biologie qui sont, pour linstant, éparpillés dans différents sites sur lagglomération caennaise. Nous aurons là une véritable concentration de connaissances et de capacités denseignement dans le domaine du médical.
Dans la mise en place de ce projet, vous avez eu, semble-t-il, des difficultés pour trouver le terrain ?
Ce sont toujours des projets très lourds à mener, à tous les niveaux : financièrement, techniquement mais aussi administrativement. Oui, cela a été difficile et surtout compliqué de pouvoir dégager une emprise de 20 000 m2. Dans Caen, sur cette partie Côte de Nacre bordant le périphérique, il y a des enjeux fonciers extrêmement lourds. Cest ce qui a pris du temps. Cest pourtant lun des enjeux majeurs du contrat de projet que le Conseil régional a signé avec lEtat il y a deux ans. Cest un des dossiers phares pour la région. Il est extrêmement important que nous consolidions ce pôle denseignement médical et que nous donnions aux enseignants et aux étudiants, qui seront autour de 4 000, dexcellentes conditions denseignement à Caen.
La situation était-elle devenue intenable ?
Elle nétait pas facile et ne favorisait pas les énergies, les échanges. Lorsque vous avez un laboratoire dun côté, une école paramédicale de lautre, tout cela nécessite dêtre revu. Et puis, on sait bien que les conditions denseignement ne sont plus du tout adaptées aux besoins daujourdhui parce que la faculté de Caen est reconnue, parce quil y a une nécessité de bénéficier dune autre qualité. Cest donc notre premier objectif. Le second, cest de renforcer limage du pôle caennais. Non pas en terme de communication, mais en terme de cohérence entre la qualité des infrastructures et celle des enseignements, afin de faire de ce pôle un site nationalement reconnu.
A quelques mois des élections régionales, ce projet nest-il pas destiné à valoriser laction que vous avez menée depuis six ans ?
Cest un projet qui démontre la qualité de laction régionale. Les études ont été lancées en 2005 et le projet a été inscrit au contrat de plan Etat-Région en 2007. Lacquisition du terrain, signée avec le CHU, va permettre de passer au stade de la construction. Une équipe technique rendra ses conclusions dans quelques mois à partir desquelles nous allons lancer les appels doffres nécessaires pour démarrer le chantier.
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