Pierrick Bonnet, qui s'apprête à disputer le rallye pour la neuvième fois, ne pourrait pas dire le contraire.
“Quand je rentre, à chaque fois je me dis “c’est fini, je ne repars pas”, raconte-t-il en souriant. Mais je change vite d’avis et j’attends le départ toute l’année.” Comme depuis 2001, le Caennais de 47 ans va donc repartir à l’assaut des dunes et des cailloux dès le 1er janvier, et jusqu’au 17 janvier, après une édition 2009 qui l’a “laissé sur [sa] faim”.
Partager l’aventure avec ses enfants
Trentième du classement général en 2002, il aspire surtout à “arriver au bout sans se faire mal” en janvier.
Ce vététiste confirmé souhaite également “bien figurer” au challenge malle-moto, qui réunit les pilotes partant sans assistance. Mais au-delà de l’aspect compétition, le rallye est surtout une aventure humaine incomparable.
Pierrick Bonnet y a vécu des moments inoubliables, comme cette arrivée à Dakar où il a eu la surprise d’y retrouver sa femme.
Il a aussi connu de vraies galères, comme en 2006 où, après une lourde chute, il a dû puiser au bout de ses réserves pour continuer malgré un “énorme hématome” à la cuisse.
Pierrick Bonnet garde aussi un rêve encore inassouvi : partager l’aventure du Dakar avec ses enfants.
“Mais financièrement, ce sera beaucoup plus dur”, regrette-t-il. Lui peut toujours compter sur le soutien de ses sponsors, condition nécessaire à son départ.
“Quand je rentre, à chaque fois je me dis “c’est fini, je ne repars pas”, raconte-t-il en souriant. Mais je change vite d’avis et j’attends le départ toute l’année.” Comme depuis 2001, le Caennais de 47 ans va donc repartir à l’assaut des dunes et des cailloux dès le 1er janvier, et jusqu’au 17 janvier, après une édition 2009 qui l’a “laissé sur [sa] faim”.
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Trentième du classement général en 2002, il aspire surtout à “arriver au bout sans se faire mal” en janvier.
Ce vététiste confirmé souhaite également “bien figurer” au challenge malle-moto, qui réunit les pilotes partant sans assistance. Mais au-delà de l’aspect compétition, le rallye est surtout une aventure humaine incomparable.
Pierrick Bonnet y a vécu des moments inoubliables, comme cette arrivée à Dakar où il a eu la surprise d’y retrouver sa femme.
Il a aussi connu de vraies galères, comme en 2006 où, après une lourde chute, il a dû puiser au bout de ses réserves pour continuer malgré un “énorme hématome” à la cuisse.
Pierrick Bonnet garde aussi un rêve encore inassouvi : partager l’aventure du Dakar avec ses enfants.
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