Néanmoins, comme l'explique ce mercredi 12 décembre l'intersyndicale de la raffinerie, "la direction du site et les administrateurs judiciaires ne souhaitent pas recourir à cette option qui pour eux ferait perdre trop d’argent à la société. En effet les conditions financières du contrat, négociées sur les marges de raffinage, peuvent se révéler toxiques pour la trésorerie du site".
Par conséquent, comme le révèle l'AFP, la direction lancera ce jeudi 13 décembre les procédures d'arrêt des unités. L'opération doit durer une dizaine de jours.
Pour rappel, le tribunal de commerce de Rouen a fixé au 5 février la date limite de dépôt des offres de reprise du site. L'intersyndicale souhaite une cession rapide. Si l'offre de NetOil est la plus aboutie à ce jour, d'autres sociétés sont intéressées par le rachat de la raffinerie : le fonds souverain libyen, Alafandi Petroleum Groupe (APG), Jabs Gulf Energy Ltd (Irak), Tadbir Energy Development Group (Iran) et les Suisses d'Activapro AG et de Terrae International.
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