Quinze mille diplomates, politiques, journalistes et lobbyistes, de tout genre et du monde entier, venus de 192 pays et rassemblés dans la capitale du Danemark ! Après la conférence internationale de Rio de Janeiro (1992) et celle de Seattle (1999), la conférence de Copenhague sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre (facteur du réchauffement de la planète et du changement climatique), s'achèvera le 18 décembre. Son acte final sera un sommet de 105 chefs d'Etat et de gouvernement.
Elle sest ouverte ce lundi 7 décembre. Dans une ambiance un peu moins morose que prévu.
En effet, les Etats-Unis - nayant jamais ratifié le protocole de Kyoto (1997) et persistant à bloquer toute perspective de traité, voire daccord - ne boycotteront pas complètement la conférence : Barack Obama lui fera lhonneur dy venir personnellement même si ce nest que quelques heures (et le dernier jour, pour éviter de sengager à quoi que ce soit).
Plus sérieux : lAfrique du Sud a annoncé le 6 décembre quelle réduirait ses émissions de gaz de 34 % en 2020, à condition que les pays riches lui fournissent une aide financière et technique.
La Chine, étant devenue le premier émetteur mondial de CO2 (devant les Etats-Unis eux-mêmes), a annoncé quelle réduirait son intensité carbone de 45 % dici à 2020. Mais elle précise : ni Pékin, ni les autres capitales de pays en développement, ne feront de concessions sans contrepartie de Washington.
Yvo De Boer, responsable de lONU sur le changement climatique, souhaite que les pays riches acceptent de sinfliger de fortes réductions démission. Et de débloquer 10 milliards de dollars par an pour aider aux réductions démissions de gaz par les pays pauvres, tâche que ces derniers nont pas les moyens de remplir eux-mêmes.
LONU optimiste
Moyennant quoi, De Boer qualifie Copenhague de tournant dans la réponse internationale au changement climatique. Et Ban Ki-moon, secrétaire général des Nations-Unies, croit pouvoir prédire un accord qui sera signé par tous les pays membres de lONU, ce qui sera historique. Ban Ki-moon saffirme très optimiste pour ce sommet, tout pollué quil soit par les réticences politiques et la désinformation de lopinion.Quinze jours avant louverture de la conférence, en effet, une incroyable affaire de courriels piratés, montée par un lobby qui se proclame climato-sceptique, a voulu persuader les foules que le réchauffement était une fiction inventée par un complot mondial. Scénario digne de Da Vinci Code mais lancé avec de tels moyens que le chef du groupe des experts climatiques, Rajendra Pachauri, a dû faire une mise au point à louverture de la conférence.
Elle sest ouverte ce lundi 7 décembre. Dans une ambiance un peu moins morose que prévu.
En effet, les Etats-Unis - nayant jamais ratifié le protocole de Kyoto (1997) et persistant à bloquer toute perspective de traité, voire daccord - ne boycotteront pas complètement la conférence : Barack Obama lui fera lhonneur dy venir personnellement même si ce nest que quelques heures (et le dernier jour, pour éviter de sengager à quoi que ce soit).
Plus sérieux : lAfrique du Sud a annoncé le 6 décembre quelle réduirait ses émissions de gaz de 34 % en 2020, à condition que les pays riches lui fournissent une aide financière et technique.
La Chine, étant devenue le premier émetteur mondial de CO2 (devant les Etats-Unis eux-mêmes), a annoncé quelle réduirait son intensité carbone de 45 % dici à 2020. Mais elle précise : ni Pékin, ni les autres capitales de pays en développement, ne feront de concessions sans contrepartie de Washington.
Yvo De Boer, responsable de lONU sur le changement climatique, souhaite que les pays riches acceptent de sinfliger de fortes réductions démission. Et de débloquer 10 milliards de dollars par an pour aider aux réductions démissions de gaz par les pays pauvres, tâche que ces derniers nont pas les moyens de remplir eux-mêmes.
LONU optimiste
Moyennant quoi, De Boer qualifie Copenhague de tournant dans la réponse internationale au changement climatique. Et Ban Ki-moon, secrétaire général des Nations-Unies, croit pouvoir prédire un accord qui sera signé par tous les pays membres de lONU, ce qui sera historique. Ban Ki-moon saffirme très optimiste pour ce sommet, tout pollué quil soit par les réticences politiques et la désinformation de lopinion.Quinze jours avant louverture de la conférence, en effet, une incroyable affaire de courriels piratés, montée par un lobby qui se proclame climato-sceptique, a voulu persuader les foules que le réchauffement était une fiction inventée par un complot mondial. Scénario digne de Da Vinci Code mais lancé avec de tels moyens que le chef du groupe des experts climatiques, Rajendra Pachauri, a dû faire une mise au point à louverture de la conférence.
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