Car si le Tribunal de commerce de Rouen a laissé jusqu'au 5 février aux repreneurs potentiels pour déposer leur dossier, les syndicats de la raffinerie de Petit-Couronne préfèrent de leur côté rappeler que la véritable échéance, selon eux, sera le 4 décembre, puisque "Shell ne compte pas prolonger le contrat de façonnage (le) liant à la raffinerie de Petit Couronne. De ce fait si aucune solution n’est apportée, la raffinerie devra s’arrêter aux environs du 15 décembre".
L'intersyndicale, par la voix d'Yvon Scornet et Nicolas Vincent, demandent au gouvernement d'obtenir de la direction de Shell, reponsable selon elle "de la mise en difficulté de plus de 10.000 familles par son désengagement de l’activité du raffinage en 2008", des contreparties, faisant notamment référence à l'attribution de nouveaux gisements pétroliers au large de la Guyane.
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