Faisant table rase des deux premières Classe A de type monospace, elle adopte une allure sportive qui séduit d’emblée.
Comme une sportive
Mais l’obtention de cette silhouette craquante induit néanmoins quelques compromis, comme de devoir plier l’échine pour s’installer à bord ou disposer d’un coffre moyen de 341 litres.
Dans l’habitacle, les volumes plaisants d’une planche de bord qui remonte assez haut, supportent au centre un écran couleur façon palette graphique qui visualise et pilote la télématique au sens large.
Les rangements offrent un bon minimum syndical et les trois assises arrière s’avèrent généreuses en espace à la tête et aux jambes. Mais la qualité perçue se distingue mal des réalisations généralistes de bonne facture. Par contre, le capital d’équipements standard y est largement supérieur, tel le Collision Prevention Assist associant un radar anticollision au freinage d’urgence.
Techniquement élaborée, la Classe A n’en reprend pas moins le 1.5 dCi 109 ch d’origine Renault pour animer la diesel de base A180 CDi BE bvm6, première Mercedes à passer en dessous des 100 g/km de CO2 (98 g). Mais c’est avec le 1.6i turbo essence 122 ch de la A180 que nous avons pu découvrir la nouvelle gamme d’accès à l’étoile Mercedes (à partir de 24 900 €). Assez étouffé pour limiter son CO2, il doit être lancé pour mettre en relief l’équilibre comportemental de cette agile traction avant. Davantage taillé pour le long cours, le diesel 1,8 l. 136 ch de l’A200 CDi concilie mieux la performance à de faibles consommations, comprises entre 5,8 et 6,1 l./100 durant notre essai, sans soigner l’écoconduite plus que ça.
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