"Il faut savoir que le temps ne joue pas pour nous et que notre souhait est d’avoir une cession le plus rapidement possible à un dossier comportant un projet industriel et financier assurant l’avenir du site", estiment les représentants des salariés de la raffinerie, par la voix de Nicolas Vincent et Yvon Scornet.
Alors que tous les regards se focalisent sur le Fonds souverain libyen, sollicité par le gouvernement et visiblement intéressé par le site de Petit-Couronne, l'intersyndicale rappelle que le dossier le plus abouti jusqu'à présent est celui présenté par NetOil. "Nous demandons que le ministère reçoive Netoil et BP pour faire le point".
"Pour nous, l’audience du Tribunal de Commerce du 4 décembre doit servir de date charnière. Il est impératif que les candidats repreneurs y présentent des dossiers sérieux, conluent les salariés. Nous demandons au Tribunal de prononcer une décision de cession si un dossier le permet. Le 4 décembre, serons-nous de nouveau abandonnés ? Il n’est pas question de vivre un 16 Octobre bis !"
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