En cas de réponse favorable, les dossiers seront examinés le 4 décembre. Car ce sont désormais pas moins de sept offres qui pourraient terminer sur le bureau du juge. Etonnant, au vu des derniers mois, lorsque salariés et politiques remuaient ciel et terre pour trouver un sauveur.
En première ligne, on retrouve NetOil, le candidat "recalé" le 16 octobre, qui annonce un partenariat avec le géant coréen Hyundai. Ce dernier prendra à sa charge (500 millions d’euros) la modernisation du site. Net Oil aurait également trouvé un accord avec BP pour alimenter la raffinerie en brut.
Outre Alafandi Petroleum Group, cinq autres pistes, en provenance de Suisse, du Texas ou du Moyen-Orient, ont fait leur apparition récemment. La plus solide pourrait être celle formulée par le fonds souverain libyen, sollicité par le ministre Arnaud Montebourg. Mais entre offres réelles et "marques d’intérêt", il faudra faire le tri.
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