Le couple s’installe à Giberville et perçoit le RSA. E.G reconnaît le premier enfant de son conjoint, né d’une précédente union. Sa compagne ne tarde pas à être enceinte de lui, mais le 15 septembre, une première scène de violence commence à assombrir le tableau. Jaloux, il n’aurait pas supporté un SMS d’un supposé "ex".
Comme il a déjà 31 mentions à son casier judiciaire, et que cette affaire peut lui valoir une nouvelle peine ferme, il réussit à persuader sa compagne de retirer sa plainte.
"Elle le méritait"
Dimanche 28 octobre, ivre, il s’en prend à nouveau violemment à sa compagne, au sujet du partage du RSA couple. Frappée au visage et au ventre, elle porte plainte, et la maintient. Avec, 2,40 g/l de sang lors de son interpellation, E.G fulmine : "elle le méritait".
En comparution immédiate, le 31 octobre, l’homme est plus calme, mais tremble visiblement, en manque d’alcool. Il avoue qu’il boit depuis l’âge de 13 ans. En récidive de violences dont déjà deux sur conjointe, il est immédiatement incarcéré pour quatre ans. E.G devra 3.000 euros de dommages et intérêts à la future mère de son enfant.
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