Au soir du 25 août, une femme, en procédure de divorce, se rend chez son fils. En route, elle passe devant l’ancien domicile familial et s’étonne d’y voir une autre femme. Elle interroge alors son fils et lui demande si son père a une nouvelle amie. Vers 23h30, la mère vient finalement frapper à la porte de son mari. Celui-ci descend lui ouvrir. Il lui donne une gifle… ou deux ! Alors qu’elle est tombée au sol, l’homme continue de la taper.
Deux jours d’incapacité
"J’étais en train de dormir, elle tambourinait à la porte. J’ai frappé. Je n’ai même pas vu qui c’était ! De toute façon quand on tambourine comme cela, ce n’est pas pour dire des gentillesses", a déclaré le prévenu au juge.
Ce coup est, il faut l’espérer, le dernier d’une longue série de violences conjugales. "Madame allait au travail le visage tuméfié. Il continuait à la frapper y compris au moment où elle a fait sa chimiothérapie", a rappelé la partie civile. "Il a fait vivre un enfer à son épouse et ses enfants !"
"L’an passé, lorsque les policiers lui ont demandé pourquoi il frappait son épouse, il a répondu que cela le soulageait !"
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