Nombreux sont celles et ceux qui apprennent, une fois le baccalauréat en poche, à gérer leurs cours et un emploi d'appoint. C'est le cas de Charles-Antoine Rousseau, 24 ans, étudiant en master de biologie. Redoublant cette année, ce jeune homme a choisi d'être équipier polyvalent 20 heures par semaine dans un fast-food de la Côté de Nacre. "Je suis boursier", explique-t-il. "Mon salaire me permet d'améliorer le quotidien". Grâce à ce job, Charles-Antoine n'a plus besoin de demander d'argent à ses parents : "C'est l'indépendance, je ne dois rien à personne et c'est bien comme ça".
Le courage des étudiants salariés
Marie Lirot a 28 ans. Etudiante à lInstitut de préparation à ladministration générale (IPAG), elle a fait le choix de rester vivre chez ses parents mais consacre cependant une partie de son temps libre à gagner de largent. "Je distribue des journaux, je donne des cours danglais et je fais des missions dhôtesse", énumère-t-elle. "Il me semble normal daider mes parents et de participer aux frais quotidien". Thomas Leclerc, 22 ans, na quant à lui jamais eu à travailler pendant ses études. Conscient de sa chance, il admire ces étudiants salariés. "Il y a des étudiants qui se lèvent de bonne heure le matin, qui vont travailler dans la restauration rapide le midi pendant que leurs amis déjeunent et se reposent. Laprès-midi, ils repartent en cours. Je les trouve vraiment courageux." Anaïs Mette, 21 ans, a fait partie de ces étudiants travailleurs. Après avoir arrêté la fac, elle a choisi de rester chez son employeur en attendant, peut-être, de reprendre les études. "Ici, comme tous mes collègues, jai un contrat en CDI", souligne la jeune femme. Un élément qui de nos jours est indispensable à la simple location dun appartement.
Le courage des étudiants salariés
Marie Lirot a 28 ans. Etudiante à lInstitut de préparation à ladministration générale (IPAG), elle a fait le choix de rester vivre chez ses parents mais consacre cependant une partie de son temps libre à gagner de largent. "Je distribue des journaux, je donne des cours danglais et je fais des missions dhôtesse", énumère-t-elle. "Il me semble normal daider mes parents et de participer aux frais quotidien". Thomas Leclerc, 22 ans, na quant à lui jamais eu à travailler pendant ses études. Conscient de sa chance, il admire ces étudiants salariés. "Il y a des étudiants qui se lèvent de bonne heure le matin, qui vont travailler dans la restauration rapide le midi pendant que leurs amis déjeunent et se reposent. Laprès-midi, ils repartent en cours. Je les trouve vraiment courageux." Anaïs Mette, 21 ans, a fait partie de ces étudiants travailleurs. Après avoir arrêté la fac, elle a choisi de rester chez son employeur en attendant, peut-être, de reprendre les études. "Ici, comme tous mes collègues, jai un contrat en CDI", souligne la jeune femme. Un élément qui de nos jours est indispensable à la simple location dun appartement.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.